La 18° EDITION de 2013

Les Infos du cinéma 

Cette semaine EPIC, la bataille du royaume secret, en AVANT PREMIERE.

Le petit dernier de la Twentieth Century Fox .

A partir de 6 ans

L’histoire d’une guerre insoupçonnable qui fait rage autour de nous. Lorsqu’une adolescente se retrouve plongée par magie dans cet univers caché, elle doit s’allier à un groupe improbable de personnages singuliers et pleins d’humour afin de sauver leur monde… et le nôtre.

GATSBY

Ouverture cannoise

Gatsby le magnifique est présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2013, en film d’ouverture.

Argent

Le budget de Gatsby le Magnifique est estimé à plus de 125 millions de dollars, soit à peu près le même que celui d’Australia, le précédent film de Baz Luhrmann sorti en 2008.

Autre adaptation

Le célèbre roman “Gatsby le Magnifique” a bénéficié de plusieurs adaptations au cinéma, dont la plus célèbre est sans nul doute celle de 1974 de Jack Clayton, avec Robert Redford dans le rôle-titre.

Retrouvailles

Baz Luhrmann retrouve donc Leonardo DiCaprio, après le très apprécié Romeo + Juliette en 1996. Gatsby le Magnifique marque également les retrouvailles de Tobey Maguire et Carey Mulligan, les deux comédiens s’étant donné la réplique dans Brothers en 2009. Quant au scénariste Craig Pearce, il avait déjà collaboré avec Baz Luhrmann sur Romeo + Juliette et Moulin Rouge !. Enfin, les décors et costumes de Gatsby le Magnifique ont été réalisés par Catherine Martin, qui avait déjà travaillé sur Moulin Rouge ! et Australia, et qui n’est autre que la femme du metteur en scène.

Musique populaire

Baz Luhrmann, toujours friand d’anachronismes musicaux, a cette fois réuni pour la bande originale de Gatsby le Magnifique des artistes très populaires tels que Beyoncé Knowles, Lana del Rey ou Florence and the Machine. Le réalisateur a lui-même participé à l’écriture d’un morceau.

Retard

La sortie de Gatsby le Magnifique, initialement prévue à la fin de l’année 2012 dans la perspective des Oscars, a finalement été repoussée de plusieurs mois pour des raisons techniques et en raison de la sortie simultanée de Django Unchained, également avec Leonardo DiCaprio. Le film est programmé pour faire l’ouverture du Festival de Cannes 2013.

EPIC

Adaptation

Epic : la bataille du royaume secret est inspiré du livre pour enfant “The Leaf Men and the Brave Good Bugs”, écrit par William Joyce. Ce dernier a participé à la production du film ainsi qu’à son écriture. Le long métrage devait d’ailleurs s’intituler initialement “LeafMen”.

Hommage

Mary Katherine, la jeune adolescente personnage principal d’Epic : la bataille du royaume secret qui a du mal à communiquer avec son père, porte le nom de la fille décédée de William Joyce. Une façon pour lui de lui rendre hommage.

Costumes

Les créateurs d’Epic : la bataille du royaume secret se sont inspirés des personnages de dessins animés et des samouraïs japonais pour les costumes des “Leaf Men”, les “Hommes-feuilles” gardiens de la forêt.

Teaser

Le premier teaser diffusé contenait très peu de dialogues et était dominé par la chanson “The Lightning Strike” de Snow Patrol. En ce qui concerne la bande originale d’Epic : la bataille du royaume secret, elle est signée Danny Elfman, un compositeur extrêmement prolifique (Le monde fantastique d’Oz, Batman, etc.).

Version française

Jérémie Rénier et Mélanie Laurent, qui doublent respectivement Nod et Mary-Kate dans la version française, se retrouvent pour la première fois, sept ans après leur collaboration dans le film belge culte Dikkenek. Avec Epic : la bataille du royaume secret, Rénier a découvert l’univers du doublage. En revanche pour Mélanie Laurent, c’est une autre histoire : “En fait mon père, Pierre Laurent, fait du doublage. Il fait des voix dans les Simpson par exemple… Celles d’Apu, Smithers ou encore Flanders… Donc je suis née avec un papa qui, quand il me racontait des histoires, faisait toutes les voix de la Terre ! (…) On peut dire que je suis un peu tombée dedans quand j’étais petite.”

 

LES LENDEMAINS

Première expérience

Actuellement en 2e année au conservatoire d’art dramatique du 18e arrondissement de Paris, la jeune Pauline Parigot, petite-fille de Guy Parigot, comédien et metteur en scène, tourne ici dans son tout premier film. Il s’agit également du premier long métrage de la réalisatrice Bénédicte Pagnot.

Une longue gestation

Après quatre ans consacrés à l’écriture et deux ans de recherche de financements, le film a bénéficié de l’Avance sur Recettes du CNC et du soutien de la région Bretagne. Il est coproduit par AGM Factory, société rennaise de post-production et les chaînes locales bretonnes Tébéo, TVR et TyTélé.

Une idée entre deux achats

La première idée du film est apparue sous la forme d’une vague ébauche de scène qui s’est formée dans l’esprit de Bénédicte Pagnot alors qu’elle se trouvait au supermarché. Elle a imaginé deux copines d’enfance assises devant une vitrine, l’une portant le badge de caissière et l’autre non. Le film raconte l’histoire de celle qui a pu faire des études, et qui du coup n’a pas été obligée de devenir caissière.

100% breton

Les Lendemains fait partie des rares longs métrages français initiés hors de Paris. Il a été produit, réalisé, et tourné en Bretagne, puis monté et finalisé par une société basée à Rennes.

Une conscience politique

Depuis sa participation en 1998 au Mouvement des Chômeurs, la réalisatrice Bénédicte Pagnot a toujours été traversée par des interrogations d’ordre politique et humain : avec le parcours d’Audrey, elle a eu envie de mettre en scène des questions liées aux clivages sociaux, au collectif et à l’utopie.

Un film coupé en deux

Dans la seconde partie des Lendemains, alors que les repères d’Audrey partent en fumée, on remarque une nette coupure stylistique avec la première partie du film : par exemple, ses parents et sa copine d’enfance y sont toujours représentés hors-champ, comme s’ils étaient si éloignés qu’ils ne pouvaient plus vraiment l’atteindre.

(Entre)prise en otage

Pour les besoins d’une scène, l’équipe de tournage a investi les locaux de “Niji”, une entreprise de convergence numérique qu’ils ont entièrement transformée en salle de rédaction d’un journal. Les décorateurs ont usé d’artifices pour mettre l’open space à sac, taguer et brûler les murs. Le lendemain, c’était comme s’il ne s’était rien passé. L’entreprise a souhaité d’elle-même soutenir ce projet revendicatif à l’essence purement bretonne, mais aussi souligner le côté fédérateur d’une telle expérience pour ses employés, qui ont pu assister au tournage.

Improvisation

Plusieurs séquences du film ont été sujettes à l’improvisation, notamment la discussion après la manifestation ou encore les scènes au squat.

 

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