LA 41° EDITION DE 2013 – ENFIN UNE SALLE COMBLE

Les infos du cinéma

Quel plaisir de voir à nouveau 150 spectateurs dans notre salle, soit c’était des écoliers mais quel plaisir de tourner pour eux.

En deux mots un aperçu de la prochaine programmation :

A partir du 6/11 « 9 MOIS FERME », « EN SOLITAIRE », « LA VIE D’ADELE », puis à partir du 13/11 « QUAI D’ORSAY », « MALAVITA », GABRIELLE », puis à partir du 18/12 « LA REINE DES NEIGES » et

à partir du 25/12 « BELLE ET SEBASTIEN »

et encore bravo à la programmation du cinéma.

LETTRE A MOMO

Une montagne de récompenses

Lettre a Momo a reçu énormément de récompenses à travers le monde. Parmi elles, Le Prix d’Excellence au Japan Media Arts Festival en 2011, le Grand Prix du Festival International du Film pour Enfants de New York, le Prix du Meilleur Long-métrage d’Anifest, le Meilleur Film d’animation au Asia Pacific Screen Awards et il a fait partie de la sélection officielle au Festival d’Annecy, tout ça en 2012

Okiura signe la lettre (à Momo)

Hiroyuki Okiura écrit son premier scénario avec Lettre à Momo. Pour son premier script, il a choisi d’écrire une histoire originale en s’inspirant de ce qui l’entourait. Il se rappelle à propos du scénario : “Tout au long de sa rédaction, je l’ai fait relire autour de moi pour comprendre comment il pouvait être perçu. Je me souviens parfaitement de ces moments d’ébullition où les idées survenaient et explosaient dans ma tête.”

SUR LE CHEMIN DE L’ECOLE

Genèse du projet

L’idée de ce documentaire vient d’une expérience du réalisateur, Pascal Plisson, alors qu’il se trouvait là pour un autre projet en Afrique : “J’ai habité plu­sieurs années au Kenya où je fil­mais pour National Geographic, la BBC, Canal+, et un jour en fai­sant un repé­rage près du lac Magadi, je tombe sur un groupe de trois jeunes guer­riers Massaï, qui n’avaient pas de lances, mais de petites sacoches en toile de jute. Ils cou­raient depuis l’aube depuis une heure et demi sous une cha­leur ter­rible, et ils n’étaient encore qu’à la moi­tié du che­min, pour aller à l’école. (…) Ils m’ont expli­qué qu’ils sou­hai­taient chan­ger de vie, qu’ils ne vou­laient plus être guer­riers, et qu’ils vou­laient aller à l’école. Cette ren­contre extra­or­di­naire a été pour moi le déclic. Lors de mes voyages, j’ai croisé ensuite d’autres enfants, avec des petits car­tables, sou­vent pieds nus, fai­sant aussi des kilo­mètres dans la forêt, dans la savane. J’ai décidé de faire un film sur ces gamins du bout du monde qui sont prêts à tout pour aller à l’école.”

Choix de casting

Le réalisateur et le producteur ont recruté les enfants sur deux critères : leur âge (entre 7 et 12 ans) et la distance qui les sépare chaque jour de leur école (pas moins de 10 kilomètres) : “Nous avons cherché des enfants qui non seulement se battent pour aller à l’école, mais qui en plus ont la lucidité de leur situation et se rendent compte que leur démarche est essentielle pour leur avenir. Il existe beaucoup d’enfants qui ne sont pas scolarisés pour le savoir qu’ils peuvent acquérir – parfois, l’école représente surtout leur seule chance d’avoir un repas par jour.”

L’engagement de Disney

Jean-François Camilleri, le président-directeur général de Walt Disney Company France, s’est engagé personnellement sur le projet et a permis de lancer le processus de production du documentaire.

BLUE JASMINE

C’est un nouveau portrait de femme que propose Woody Allen avec Blue Jasmine. Après avoir dirigé Diane Keaton, Mia Farrow ou Scarlett Johansson pour ne citer qu’elles, c’est sur Cate Blanchett que le cinéaste braque sa caméra, dans un film aux accents plus dramatiques que ses dernières réalisations. Son héroïne est dépressive et désorientée. “Dès le début du film, on comprend que Jasmine est paumée. Il lui est déjà arrivé de parler toute seule, et elle a eu de gros problèmes personnels. Alors qu’elle est au fond du gouffre, à la fois financièrement et psychologiquement, et qu’elle ne sait plus où aller, elle sollicite l’aide de sa soeur Ginger, caissière de supermarché à San Francisco”, indique le réalisateur.

Jeux de flashbacks

La manière dont le film raconte sa protagoniste, Jasmine, repose en partie sur un jeu avec les flashbacks, sur de nombreux allers-retours entre le présent, à San Francisco, et le passé, à New York. “Comme on ne peut pas se fier à ce que raconte Jasmine, les flashbacks sont là pour rétablir la vérité. D’une certaine façon, j’aurais préféré qu’on tourne les scènes new-yorkaises avant celles de San Francisco, parce que cela m’aurait permis de mieux cerner mon personnage”, précise Cate Blanchett.

L’EXTRAVAGANT VOYAGE DU JEUNE ET PRODIGIEUX SPIVET

Un premier roman au cinéma

L’Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet est l’adaptation du roman du même nom écrit par le jeune écrivain Reif Larsen publié en 2009. Il s’agit du premier roman de l’auteur américain.

Le fabuleux destin de T.S. Spivet

Jean-Pierre Jeunet a décidé de se lancer dans cette adaptation sous l’impulsion de son lecteur attitré, Julien Messemackers, qui lui a fortement conseillé de s’intéresser à ce livre en particulier. Le réalisateur avoue avoir fait cette demande pour une simple raison : “Après Micmacs à Tire-Larigot (2009), je n’avais pas envie d’écrire à nouveau une histoire originale.”

Un roman haut en couleur !

Jean-Pierre Jeunet a une façon bien particulière de travailler sur l’adaptation d’un roman : “J’ai pris le livre et j’ai commencé à le colorier : tout ce que j’aimais beaucoup ou que je pensais indispensable au récit en rouge ; ce que j’aimais moyen en jaune ; ce que je n’aimais pas du tout en vert. J’ai découpé les pages et les ai rangées dans des chemises, et à partir de là, j’ai rebâti une histoire en quelque sorte, en n’hésitant pas à mélanger les éléments”, raconte le réalisateur qui s’est mis ensuite à l’écriture du scénario avec son complice d’écriture de toujours depuis La Cité des enfants perdus (1993), Guillaume Laurant.

DIANA

Deux ans de la vie de Lady DI, la princesse icône des anglais. Quand vous aurez vu le film vous comprendrez pourquoi ils n’ont pas aimé outre manche

Le tournage de Diana a duré neuf semaines et l’équipe a énormément voyagé pendant ces deux longs mois. En Croatie, au Pakistan, au Mozambique, en Angleterre (au sud-est puis à Londres) et enfin pour les plans d’extérieurs se déroulant à Paris, à l’hôtel du Ritz. La production a aussi choisi de se poser à Trieste, au nord-ouest de l’Italie.

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