Reprise d’activités : Venez au cinéma

Les INFOS du cinéma :

Dans le cadre de la « Gouel Dañs Treger » le cinéma a accueilli le réalisateur Thierry COMPAIN lors de la projection de ses deux films « Le village au cimetière » et « Marlajez ».

Lundi 5 novembre nous avons eu le plaisir de vous offrir « La chorale du bout du monde » lors de l’hommage à Youenn Gwernig. Christian DESBORDES, Charles LE DREAU, Fañch BERNARD, Jean-Marc KERNIN et Michel COLIN ont prolongé la magie du film « En-Dro da Youenn » avec cinq chansons de leur répertoire avec l’accompagnement musical.

Déjà trois cent entrées pour le dernier James Bond « SKYFALL » et un dernière séance cette semaine mardi. Il reviendra à l’affiche pour Noël.

 Et pour finir le mois de novembre « Twilight – Chapitre 5 » et «Amour » à partir du 21 novembre

Un Plan Parfait

A 51 ans, le réalisateur Pascal Chaumeil signe son deuxième long métrage avec Un Plan Parfait. Auparavant, celui-ci avait travaillé pour la publicité et avait été plusieurs fois assistant de Luc Besson pour des films tels que Léon, Le Cinquième élément ou encore Jeanne d’Arc. Pascal Chaumeil déclare à ce sujet : “Réalisateur c’est, je crois, un métier qui s’apprend et avoir accompli tout cela avant m’a permis d’être affûté pour franchir la dernière haie.”

Un léopard dans la douche

Lors du tournage au Kenya en plein cœur d’une réserve naturelle, l’actrice Diane Kruger a fait une rencontre assez insolite : la comédienne s’est en effet retrouvée nez à nez avec un léopard… dans sa douche. L’animal sauvage n’a heureusement pas cherché à l’attaquer et s’en est retourné tranquillement d’où il venait : “Cela fait partie à jamais de l’histoire de ce film et nous a fait oublier le manque de confort ou la chaleur…”, déclare l’actrice.

QUELQUES HEURES DE PRINTEMPS

C’est après avoir visionné un film documentaire que le cinéaste Stéphane Brizé a eu l’idée de réaliser Quelques heures de printemps : “En 2004, j’ai vu un documentaire extraordinaire à la télévision : “Le choix de Jean”. Ce film montrait les derniers mois de la vie d’un homme, Jean, atteint d’une maladie incurable, qui avait décidé de mourir avant d’arriver en phase terminale de la maladie. J’ai vu le film, il m’a bouleversé et puis il est resté dans un coin de ma tête”, explique-t-il. Ce documentaire a également ancré Quelques heures de printemps dans la réalité de ces malades : “Il m’a aussi permis de découvrir le protocole précis que suivent les personnes qui décident de mourir de cette manière. Ça, je ne pouvais pas l’inventer”, ajoute le cinéaste.

Quand les mots manquent

Pour raconter cette histoire entre un fils et sa mère que tout sépare, le réalisateur n’a pas eu peur de filmer des scènes de silence, qu’il définit comme un passage obligé pour marquer la différence entre la vie et le cinéma : “La vie est faite de mots, de silences et d’hésitations. Et même si au quotidien je serais plutôt du genre à remplir le vide par trop de mots inutiles, au moment de filmer, par honnêteté, parce que j’essaie de capter des instants de vérité (…) je ne peux pas échapper à ces silences.”

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